Nousorganisons des "doublettes montĂ©es" tous les vendredis soir et nous arrivons Ă  rĂ©unir 72 Ă©quipes. Notre club est dirigĂ© par des jeunes et rassemble une trentaine de licenciĂ©s." Durantles deux pĂ©riodes de mise Ă  disposition couvrant l’Autumn Nations Series 2021 et le Tournoi des Six Nations 2022, 42 joueurs seront notamment rassemblĂ©s chaque dĂ©but de semaine, avec LeRugby club toulonnais est un club de rugby Ă  XV français fondĂ© le 3 juin 1908 et basĂ© Ă  Toulon ().Il est actuellement prĂ©sidĂ© par Bernard LemaĂźtre.L'Ă©quipe premiĂšre, entraĂźnĂ©e par Franck AzĂ©ma, Ă©volue en Top 14 depuis 2008 et dispute selon les annĂ©es la coupe d'Europe ou le challenge europĂ©en.. Le club est créé Ă  la suite de la fusion de l'Étoile sportive toulonnaise, cash. Le football, omniprĂ©sent en AlgĂ©rie. CC Das Wortgewand, Pixabay Dans un pays oĂč le football est roi, l’équipe de SapienSapiens, agence de production toulousaine, a voulu partir Ă  la recherche du rugby en AlgĂ©rie. Leur reportage, rĂ©alisĂ© avec le soutien de France 3 Occitanie et de la rĂ©gion Occitanie, a fait l’objet d’une diffusion et d’une discussion le 19 avril 2018 Ă  Toulouse. J’y Ă©tais pour vous. DĂ©but 2015. Les recherches en AlgĂ©rie n’ont rien trouvĂ© le rugby est rentrĂ© en France avec les accords d’Evian. Il faut aller jusqu’à Malacca, en Malaisie, pour tomber sur un groupe de franco-algĂ©riens qui, depuis des annĂ©es, veulent crĂ©er une fĂ©dĂ©ration de rugby en AlgĂ©rie. Un rĂȘve un peu fou. Ensemble, ils forment dĂ©jĂ  une sĂ©lection nationale, et se rassemblent au moins une fois par an. Tous soulignent l’importance que revĂȘt pour eux, comme pour n’importe quel AlgĂ©rien, le fait de reprĂ©senter leur pays. En cet Ă©tĂ© 2015, ils ont eu la chance de jouer une compĂ©tition entre pays musulmans. AprĂšs 2 victoires, les voilĂ  en finale contre la Malaisie. Le match est tendu, Ă©maillĂ© de dĂ©cisions arbitrales Ă©tranges, et se termine en bagarre gĂ©nĂ©rale. L’AlgĂ©rie perd contre le pays organisateur, mais les joueurs, amers, ne renonceront pas. Le reportage suit les membres du projet et enchaine les portraits. Nous rencontrons ainsi Azouz AĂŻb, qui coache la sĂ©lection et est l’un des meneurs du projet de fĂ©dĂ©ration depuis son bureau, Ă  Brive. MalgrĂ© les longues heures de discussions coupĂ©es au montage, le cĂŽtĂ© attachant du colosse est palpable, tout autant que son engagement dans le projet et son Ă©motion Ă  chaque avancĂ©e notable. Un engagement partagĂ© par les autres, qui ont chacun leur histoire Ă  raconter sur leur rencontre, peu naturelle pour leur origine, avec le rugby. Djemai Tebani, Ă  Clichy, explique ainsi s’ĂȘtre rendu, adolescent, Ă  un entrainement de football, comme l’aurait fait n’importe lequel de ses amis. Or ce jour-lĂ , il n’y avait pas football, mais rugby. Cela fait dĂ©sormais 33 ans qu’il est dans ce monde, oĂč il est devenu Ă©ducateur. Suivant son exemple, de plus en plus de jeunes franco-algĂ©riens se mettent au rugby Ă  Clichy. Les Toulousains Khaled et Samir racontent des histoires similaires, entre mauvais gabarit pour jouer au football et dĂ©ception de ne pas avoir de sang marocain, qui possĂšde une vraie fĂ©dĂ©ration de rugby, jusqu’à l’appel d’Azouz. InvitĂ©s Ă  un tournoi de beach-rugby Ă  Marseille puis rappelĂ©s pour la vraie sĂ©lection, ils ont la sensation d’ĂȘtre des pionniers, rejoignant un projet vieux de 10 ans. Des AlgĂ©riens jouant au rugby, ce sont aussi deux cultures qui s’affrontent. Ou pas. Tous tĂ©moignent du naturel que revĂȘt pour eux cette situation, d’un mĂ©tissage assumĂ©. Ils sont Ă  la fois français et algĂ©riens, sont imprĂ©gnĂ©s des deux cultures dont le rugby est prĂ©sentĂ© comme un trait d’union, certes improbable. C’est ainsi que Khaled, qui joue Ă  Saint-Sulpice, explique que les choses se sont faites trĂšs naturellement lors de son arrivĂ©e au club, habituĂ© Ă  recruter des jeunes de la rĂ©gion n’ayant pas passĂ© le cap du professionnalisme. Il n’a mĂȘme pas eu Ă  rappeler son rĂ©gime alimentaire lors du premier repas du club auquel il assiste, il a la surprise de se voir proposer quatre cĂŽtes d’agneau. Ici, ce qui compte, c’est que le joueur soit un “bon gars” et qu’il se donne Ă  fond. Fin 2015, la fĂ©dĂ©ration est finalement créée et reconnue par le gouvernement. Il aura fallu plusieurs annĂ©es, de nombreux dĂ©placements en AlgĂ©rie, des journĂ©es de formations d’éducateurs, des rencontres avec des officiels, mettre sa vie privĂ©e de cĂŽtĂ©, mais le rĂȘve devient rĂ©alitĂ©. La “promesse” trĂšs intime d’Azouz est tenue. Le travail n’est pas fini pour autant il faut trouver des sponsors, mais aussi convaincre les AlgĂ©riens. L’AlgĂ©rie joue chez elle, Ă  Oran, pour la premiĂšre fois le 18 dĂ©cembre 2015. De nombreux officiels sont prĂ©sents, mais le public aussi est lĂ , remplissant le quart du stade. Un beau score pour une premiĂšre, qui se conclut avec la maniĂšre victoire 16-6 contre le voisin tunisien. Le mouvement est lancĂ©. L’hiver suivant, l’AlgĂ©rie organise le Tournoi des Tri nations. AprĂšs un courte dĂ©faite contre le Maroc, le match contre la Tunisie doit ĂȘtre diffusĂ© sur une grande chaine nationale. Une nouveautĂ© pour tout le monde, y compris le commentateur dont les bourdes sont rattrapĂ©es par Azouz, qui l’assiste en cabine. La sĂ©lection perd encore pour un point, mais l’essentiel n’est pas lĂ . Le public est prĂ©sent et, alors qu’il dĂ©couvre encore ce sport, n’impose pas encore la pression du rĂ©sultat aux joueurs. Depuis la fin du tournage, une quinzaine de clubs se sont créés, principalement dans les villes d’origine des joueurs Oran, ZĂ©ralda, Alger
 Mais dans un pays oĂč le foot est roi, les problĂšmes sont encore nombreux. L’Etat soutient peu le rugby, surtout financiĂšrement, et les joueurs sont souvent poussĂ©s vers la sortie de terrains empruntĂ©s au football. Mais la possible qualification pour la Coupe du Monde et la hausse de niveau des joueurs du cru mĂȘme si aucun n’est encore international pourraient changer les choses. CrĂ©dits Image Ă  la Une CC Wikimedia, Brianhe MalgrĂ© les efforts effectuĂ©s ces derniĂšres annĂ©es pour dĂ©velopper le rugby fĂ©minin, les inĂ©galitĂ©s au sein du monde de l’ovalie ne sont pas totalement rĂ©sorbĂ©es. Elles sont mĂȘme ravivĂ©es en pleine crise sanitaire mondiale. AprĂšs la suspension du championnat Elite 1 fĂ©minine, et l’annulation des trois derniers matches du tournoi des Six Nations fĂ©minin, c’est bien la question du statut des joueuses qui est remis en cause. Les inĂ©galitĂ©s dans le monde de l’ovalie se sont ravivĂ©es ces derniers jours. Le comitĂ© d’organisation du Tournoi des Six Nations a annoncĂ© mardi l’annulation des trois derniers matches du tournoi fĂ©minin, dont le France – Irlande. La justification ? "Cette dĂ©cision fait suite aux rĂ©centes restrictions des gouvernements et autoritĂ©s sanitaires contraignant la prĂ©paration des Ă©quipes, les dĂ©placements et l’organisation des rencontres pour la fin du tournoi des Six Nations fĂ©minin 2020", a prĂ©cisĂ© le communiquĂ© de la FĂ©dĂ©ration française de rugby FFR. Mais alors, en quoi l’organisation de ces matches Ă©tait-elle plus compliquĂ©e que pour celle des garçons, qui eux ont pu aller au bout de leur compĂ©tition ? La raison se trouve tout simplement dans les statuts. Les joueurs de rugby, et ce peu importe les Ă©quipes nationales, possĂšdent le statut de professionnels. Ils sont salariĂ©s de leurs clubs respectifs, et n’ont pas besoin de travailler Ă  cĂŽtĂ© ou d’organiser leurs agendas pour pouvoir jouer sous les couleurs de leur pays. Ce qui est vrai pour les hommes, l’est beaucoup moins pour les femmes. En effet, au niveau mondial, trĂšs peu d’équipes nationales fĂ©minines se composent de joueuses professionnelles. “Au niveau mondial, le statut amateur prime encore chez les femmes. Mais petit Ă  petit, les fĂ©dĂ©rations commencent Ă  dĂ©velopper des contrats pour leurs joueuses car ils se rendent compte de la difficultĂ© pour elles de devoir gĂ©rer leur carriĂšre professionnelle et sportive”, explique Laura Di Muzio, joueuse au LMRCV Lille MĂ©tropole Rugby Club Villeneuvois, consultante pour France TĂ©lĂ©visions et co-fondatrice de l’agence LJA Sports, agence pour la promotion du sport fĂ©minin. Hormis les Françaises, les Anglaises, les NĂ©o-ZĂ©landaises et les Écossaises, les autres grandes nations du rugby sont encore considĂ©rĂ©es comme ayant le statut amateur. “Ce sont des grosses nations qui ont pris le pas, mais mĂȘme au sein de celles-ci, toutes les joueuses n'ont pas le mĂȘme statut”, ajoute Laura Di Muzio. Les Françaises, elles, font partie des mieux loties. En 2018, la FĂ©dĂ©ration française de rugby a Ă©tĂ© dans les premiĂšres au niveau mondial Ă  franchir le pas. Dans le XV de France, elles sont 30 Ă  ĂȘtre sous contrat semi-professionnel, ce qui reprĂ©sente 75% de l’équipe. Cette inĂ©galitĂ© entre statuts amateur et professionnel a donc Ă©tĂ© ravivĂ©e lors du week-end du 1er novembre. Alors que les Ă©quipes masculines, irlandaises et françaises, ont pu s’affronter dans le cadre du Tournoi des Six Nations sur le sol français, leurs homologues fĂ©minines ont dĂ» y renoncer. Le gouvernement irlandais a en effet, fin octobre, reconfinĂ© sa population afin de lutter contre la propagation de la Covid-19, dont les courbes repartaient Ă  la hausse. En plus des mesures restrictives trĂšs strictes sur le sol irlandais, les autoritĂ©s ont aussi imposĂ© une quatorzaine Ă  toutes personnes revenant d’un pays n’étant pas sur la liste verte. La France n’en faisant pas partie, les joueuses irlandaises, qui devaient se dĂ©placer au Stadium de Villeneuve d’Ascq pour ce dernier match des Six Nations, auraient donc dĂ» elles aussi rester Ă  l’isolement Ă  leur retour. Toutefois, n’ayant pas le statut de professionnelles, il leur Ă©tait alors impossible de s’isoler, puisqu'elles travaillent Ă  cĂŽtĂ© de leur carriĂšre sportive. Le problĂšme des statuts est donc rĂ©apparu. Une situation impensable chez les garçons. “La question ne se serait mĂȘme pas posĂ©e pour la tenue du match chez les garçons. L’annonce du report a Ă©tĂ© trĂšs rĂ©vĂ©latrice des problĂ©matiques du sport de haut niveau amateur. La situation est un peu ubuesque puisque que le mĂȘme week-end, les deux rencontres doivent se tenir, avec les mĂȘmes conditions sanitaires. Tout a Ă©tĂ© fait pour que ce soit possible, et lĂ , la seule problĂ©matique dĂ©pendait du statut”, regrette Laura Di Muzio. Finalement, cette situation invraisemblable, provoquĂ©e indirectement par la crise sanitaire de la Covid-19, a dĂ©montrĂ© une nouvelle fois Ă  quel point le rugby fĂ©minin Ă©tait loin du compte par rapport au rugby masculin. “Ce report, provoquĂ© par la covid, a Ă©tĂ© un cas concret, et a rĂ©vĂ©lĂ© les problĂ©matiques du quotidien des sportives de haut niveau amateur”, ajoute la consultante de France TĂ©lĂ©visions. Du cĂŽtĂ© du XV de France fĂ©minin, la dĂ©cision prise par le comitĂ© d’organisation du Tournoi des Six nations n'est Ă©videmment pas bien passĂ©e “Bien sĂ»r, nous sommes déçues de ne pas pouvoir jouer ce quatriĂšme match. On avait tout prĂ©parĂ© pour pouvoir jouer. En effet, comme les Irlandaises n'ont pas le mĂȘme contexte sanitaire que nous, et n’ont pas le mĂȘme statut non plus, nous avions proposĂ© d’aller jouer Ă  Dublin le match a failli ĂȘtre annulĂ© Ă  cause des restrictions sanitaires irlandaises, avant que la France ne se propose d’aller jouer Ă  Dublin. Avant d'ĂȘtre annulĂ© mardi, le match avait Ă©tĂ© ensuite reportĂ© pour cas de covid chez les Bleues, ndlr. J'avais d’ailleurs trouvĂ© trĂšs intĂ©ressante notre dĂ©marche d’aller jouer Ă  Dublin, dans un Ă©lan de solidaritĂ©, pour maintenir la rencontre. L'idĂ©e Ă©tait de dire 'c'est nous qui venons, car ça nous tient Ă  cƓur mais c'est aussi pour faire passer un message trĂšs fort qui Ă©tait regardez les consĂ©quences de ce genre de situation, il faut faire Ă©voluer les contrats des joueuses'”, explique Annick Hayraud, la manager du XV de France. Annick Hayraud vante d’ailleurs le statut mis en place par la FFR. PlutĂŽt qu’un statut professionnel, elle a optĂ© pour le semi-professionnel. Ce statut leur permet de recevoir tous les mois une rĂ©munĂ©ration de la part de la FFR, qui est leur employeur, et en parallĂšle, elles peuvent continuer Ă  Ă©tudier, par exemple, ou Ă  prĂ©parer leur aprĂšs-carriĂšre. Un bon Ă©quilibre puisque les “filles gardent l'esprit dans la 'vraie vie', peuvent se former pour l’aprĂšs. On est d’ailleurs en train de faire un gros travail avec les clubs pour savoir comment on peut structurer et faire Ă©voluer le statut dans les clubs parce que, lĂ  aussi, on leur demande beaucoup et c'est compliquĂ©â€, ajoute Annick Hayraud. MĂȘme en 2020, et Ă  un an de la prochaine Coupe du monde, de nombreuses Ă©tapes sont encore Ă  franchir. “C'est un combat de tous les jours. MĂȘme s'il y a eu des Ă©volutions, il faut malgrĂ© tout, au niveau des nations, pousser dans ce sens-lĂ . Au niveau des compĂ©titions et des organisations des tournois comme le Six Nations ou la Coupe du monde, ça commence aussi Ă  prendre. Il y a de plus en plus de monde dans les stades, ce qui est trĂšs positif, mais il faut continuer de pousser sur le statut de la joueuse”, poursuit Annick Hayraud. “L'idĂ©e n'est pas de tirer Ă  boulets rouges sur les fĂ©dĂ©rations ou les organisations, mais c'est de rĂ©flĂ©chir Ă  comment organiser dans notre sociĂ©tĂ© le sport pour les femmes de haut niveau. Car finalement, on se rend compte que, encore une fois, ce qui passe Ă  la trappe, c'est ce qui est Ă©conomiquement le moins intĂ©ressant”, constate Laura Di Muzio. Mais sur cet aspect-lĂ , les lignes frĂ©missent, puisque le rugby fĂ©minin rassemble de plus en plus. “Les nations se mettent Ă  se pencher sur la question car il commence Ă  avoir du monde dans les stades, mĂȘme Ă  l'Ă©tranger. Il faut continuer Ă  pousser les fĂ©dĂ©rations. Et mĂȘme nous, il faut continuer Ă  aller plus loin”, lance Annick Hayraud. La diffĂ©rence de statut n'a pas seulement touchĂ© l'Ă©quipe de France. En effet, si les sportifs professionnels et de haut niveau peuvent continuer de s’entraĂźner lors du deuxiĂšme confinement, pour les sportifs professionnels mais ayant le statut amateur comme les joueuses Ă©voluant en Elite 1 fĂ©minine, la situation est toute autre. “Tous les amateurs ont dĂ» s’arrĂȘter, les professionnels ont pu continuer mais nous, nous sommes dans un entre-deux, et on a l'impression que ça importe peu”, dĂ©plore Laura Di Muzio. Et l’entre-deux a basculĂ©, comme lors du premier confinement, du cĂŽtĂ© amateur, ce que regrette Carole Gomez, chercheuse Ă  l’Iris et auteure de Le rugby Ă  la conquĂȘte du monde - Histoire et gĂ©opolitique de l'ovalie. “La situation est trĂšs inquiĂ©tante car on se retrouve dans la situation identique d'il y a quelques mois. On n'a pas tirĂ© les leçons du premier confinement. Autant il y a quelques mois, la situation Ă©tait inĂ©dite, donc on pouvait comprendre le tĂątonnement. Mais aujourd’hui, on a l’impression de revivre un peu la mĂȘme situation qu'en mars.” Cette interruption du championnat pourrait d'ailleurs avoir un effet sur le XV de France. “Si tous les entraĂźnements reprennent au 1er dĂ©cembre, l’impact sera moindre. Mais si jamais la situation actuelle se prolonge jusqu'Ă  la fin d'annĂ©e, cela aura forcĂ©ment des consĂ©quences, car les joueuses n'auront pas eu d'entraĂźnement collectif pendant plus d'un mois
 Donc oui, cela pourra poser problĂšme", craint Annick Hayraud. Dans ce contexte, la prioritĂ© est donc de se faire entendre. Si Laura Di Muzio a bien conscience que la situation sanitaire est la prioritĂ©, elle ne veut toutefois pas laisser passer cet Ă©pisode. “Si on met le couvercle sur tout ça, une fois qu'on sera sorti de cette crise, on ne veut pas repartir de 0. Il faut continuer Ă  mener le combat pour qu'on ne le paye pas dans quatre ou cinq ans.” Politique de confidentialitĂ© - Gestion des cookies - Mentions lĂ©gales - CGU - Sitemap - Classement Tour de France 2022 - RĂ©sultats Ă©lection prĂ©sidentielle 2022 - RĂ©sultats Ă©lections lĂ©gislatives 2022 - RĂ©sultats Ă©lections rĂ©gionales 2021 - RĂ©sultats Ă©lections dĂ©partementales 2021 © 2022 - Bayard - Tous droits rĂ©servĂ©s - est un site de la Croix Network

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